Tiré du journal LA MONTAGNE parut le Lundi 13 décembre 2010
Mais des bêtes ont déjà pris place dans quelques cases de la future porcherie bio de l'exploitation du lycée agricole Edgard Pisani Tulle-Naves-Cornil.
La conversion du cheptel porcin prolonge celle du cheptel bovin, qui devrait être achevée totalement en juin 2011.
« C'est la grande différence. Le porc bio a plus de place, détaille Hervé Longy, qui dirige l'exploitation de l'établissement. Par rapport au porc conventionnel, on passe de 0,8 m2 par animal à 2,3. Par ailleurs, la truie n'est pas dans une cage et peut se mouvoir à 360 degrés ».
Pas d'accès à l'extérieur?
RépondreSupprimerPas terrible de ne jamais voir la lumière du soleil
biensur que si, il y a des accès sur l'extérieur !
RépondreSupprimerIls paturent sur combien d'hectares et qu'elle densité?
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